29.10.15 Vives attentes

Espérer, voir venir,…attendre…

Quiconque est soucieux de l’avenir de la Défense est en attente du “Plan stratégique”.
Les programmes de restructuration sont le lot de la Défense depuis plus de vingt-cinq ans.
L’effectif ne cesse de se réduire et les budgets sont plus maigres d’une année à l’autre.
Les nombreux changements et l’absence de décisions politiques sont à la base du problème.
Nous ne savons toujours pas comment les choses devront fonctionner ni dans quelle direction nous nous dirigeons.
Notre patience a des limites, il est TEMPS D’APPORTER DES SOLUTIONS
Parce qu’au cours des derniers mois l’autorité ne nous a convoqués qu’à propos de dossiers qu’elle veut voir sur la table de négociations, un entretien avec le Ministre de la Défense s’imposait.
Lors des rencontres bilatérales précédentes avec le ministre de la Défense Steven Vandeput, nous avons déjà fait part de nos griefs. Malheureusement, il y avait peu d’action.
Le personnel représente encore toujours le capital le plus important de la Défense
En tant que syndicat, nous souhaitons être impliqués dans tout ce qu’entraînera le nouveau plan stratégique et participer à tous les débats concernant tout ce qui touche aux ressources humaines.
En attendant, le SLFP-Défense a demandé lors de la rencontre avec le ministre le 6 octobre, en front syndical, un négociateur porteur d’un mandat pouvant prendre des décisions de manière autonome et pouvant aussi donner des réponses claires sur les motifs pour lesquels l’avis d’un syndicat n’est pas suivi.
En dehors de l’amorce d’un dialogue social, il impératif de prendre des accords quant au statut tant administratif que pécuniaire.
A ce jour, ces accords sont affichés sur le calendrier en consultation avec le cabinet.
La politique de bien-être en vue de la protection du personnel dans l’exécution de son travail est une responsabilité de l’employeur et en même temps un grand souci de notre organisation syndicale

La Défense a-t-elle encore un avenir?
La Défense offre encore toujours un métier d’avenir, mais le monde politique doit réagir et engager le débat!