Il est ressorti du Haut Comité de Concertation Bien-être de ce mercredi 31 mars que ces tests pouvaient dans certaines configurations spécifiques (à étudier au cas par cas au niveau local) avoir une valeur ajoutée tout en continuant à respecter les mesures de prévention de base. Malheureusement, nous continuons à déplorer le non-respect de la législation et des directives du CHOD par certaines unités.
Malgré certains avis négatifs, le SLFP-Défense a demandé la mise en œuvre de ce dépistage par la Défense (tout comme d’autres employeurs).
Nous attendons avec impatience les directives de l’Etat-Major et les premiers résultats de ces tests.
BIENTÔT DES TESTS RAPIDES COVID-19 À LA DÉFENSE ?
2 avril 2021
par
LAURENCE GASTOUT